Les fleurs du mal e Spleen di Baudelaire: spiegazione in francese

I fiori del male e Spleen di Charles Baudelaire: spiegazione e analisi della poesia (2 pagine formato doc)

Appunto di tinkpixie

LES FLEURS DU MAL E SPEEN DI BAUDELAIRE: SPIEGAZIONE

Le recueil Les Fleurs du mal et l’analyse de la poésie Spleen. Les fleurs du mal est l’œuvre majeure de Charles Baudelaire: il s’agit d’un recueil de poèmes, publié pour la première foi le 23 juin 1857 et réédité en 1861.


L’édition du 1857 comprenait 100 poèmes, divisés en cinq sections : Spleen et Idéal, Les fleurs du mal, La révolte, Le vin et La mort.
Cette édition a été immédiatement censurée, parce que les thèmes traités et le titre original, Les Lesbiennes, ont suscités le scandale. L’auteur et l’éditeur ont été cités pour outrage à la religion et à la morale. Puis ils ont été innocentés de l’accusation d’outrage à la religion, mais ils ont été condamnés à une amende et à supprimer six poèmes pour « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs ».
En 1861 une nouvelle version a été publiée : Baudelaire a supprimées les six lyriques accusé d’outrage, en ajoutant 35 nouveaux poèmes et une nouvelle section, intitulé Tableaux parisiens.

Spleen et ideal di Baudelaire: analisi in francese

LES FELURS DU MAL: SPIEGAZIONE

Le recueil comprend aussi un prologue titré Au lecteur : il s’agit d’une sorte de pacte de lecture qui met l’accent sur la fraternité des hommes dans la déchéance. Les hommes se sentent solidaires devant la misère, la sottise, la lâcheté, l’ennui et le mal de vivre. Les fleurs du mal est l’une des plus célèbres œuvres du XIX siècle, qui a ouvert les portes à la modernité. On y trouve un nouveau stéréotype de poète : le poète maudit, qui s’enferme en soi-même, en vénérant les plaisirs charnels et en décrivant da condition de souffrance et douleur. Pour Baudelaire, le recueil doit être vu comme un voyage imaginaire que le poète fait vers l’enfer de la vie. C’est surtout dans la section Spleen et Idéal que le poète exprime son malaise existentiel. Cette section, qui comprend les poèmes du premier jusqu’au LXXXV, expose longuement la situation du poète, écartelé entre l’aspiration à la pureté, la perfection de l’Idéal et le poids du Spleen, un mot anglais qui désigne une forme incurable et douloureuse d’ennui. Dans l’Angleterre du XVII siècle, le Spleen désigne la rate « siège des humeurs noires » ; elle indique par conséquent la mélancolie. Le terme arrive en France au siècle suivant. Diderot, Chateaubriand, Vigny, Musset et Hugo en on fait usage. Mais le terme devient célèbre pendant le Décadentisme avec Baudelaire. Le Spleen décadent suggère l’idée de la nature sensible du poète et de son incapacité de s’adapter. Les poèmes qui prennent le nom dès cet état d’âme sont quatre. Le dernier est surement le plus célèbre. Dès ce poème on voit la condition d’extranéité à la vie du poète, qui se sent étrange dans un monde que le refus : dans se poème c’est la terre entière qui devient la cellule d’où le poète ne peut pas s’évader.