Darwinismo sociale: tesina terza media

Tesina di terza media sul darwinismo sociale e sulle teorie sulla razza (2 pagine formato doc)

Appunto di stefaniastefania97

DARWINISMO SOCIALE: TESINA TERZA MEDIA

Darwinisme social. La théorie des races par rapport à aujourd’hui - Aux XIX siècle avec le progrès de la science, naissent des théories importantes sur l’évolution de la race humaine (Charles Darwin) et avec cette théorie s’affirme l’idée de différence entre les races : il y a des races supérieures et des races inférieures.

La race blanche serait supérieure à celle noire et jaune.
Ajoutent à tout cela la philosophie du positivisme qui rend plus forte l’idée des différences avec des expériences qui ne sont pas scientifiques, mais qui annotent la prétention.
On peut bien comprendre que cette théorie puisse donner comme conséquence des fausses interprétations, qui amèneront aux XX siècle à l’idée de la race pure Ariane, qui pense de dominer le monde : c’est le nazisme. L’idée exprimée dans le texte base du nazisme Mein Kampf est justement le résultat de ce parcours historique scientifique.

DARWINISMO SIGNIFICATO

- Le darwinisme social - C'est une théorie selon qui un aspect spécial de la théorie évolutive ou théorie de la sélection naturelle serait applicable aux populations humaines. En synthèse ce serait l'idée de lutte pur la vie appliquée dans un contexte social, dans une communauté où le plus fort (caractères économiques, professionnels, sociaux) gagne sur le plus faible. Le darwinisme social suggère donc que l'héritage, les caractères innés auraient un rôle prépondérant par rapport à l'éducation, le caractère acquis. Il se traite donc d'un système idéologique qui voit dans les luttes civiles, dans les inégalités sociales et dans les guerres de conquête l'application à l'espèce humaine de la sélection naturelle.
Herbert Spencer, savant contemporain de Darwin et tout aussi populaire, interprète cette théorie par la sélection des plus aptes (Survival of the fittest).Il fournit ainsi une explication biologique aux disparités observées entre les sociétés sur la trajectoire apparemment unique de l'histoire humaine : les peuples les moins adaptes à la lutte pour la survie seraient restés figés au stade primitif conceptualisé par les tenants de l'évolutionnisme anthropologique. Dans De l'Origine des espèces (sous-titré : La Préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie), Darwin n'analyse pas la société humaine et n'a pas d'implication personnelle citée dans le darwinisme social. Herbert Spencer n'est pas un darwinien mais un lamarckiste ; il voit, en effet, dans l'évolution la marque d'une marche vers un progrès inéluctable, contrairement à Darwin, pour qui elle est le résultat du hasard.

Darwinismo sociale: tesina

IL DARWINISMO E LE TEORIE SULLA RAZZA

Sur le plan politique, le darwinisme social a servi à justifier scientifiquement plusieurs concepts politiques liés à la domination par une élite, d'une masse jugée moins apte. Parmi ceux-ci notons le colonialisme, l'eugénisme, le fascisme et surtout le nazisme. En effet, cette idéologie considère légitime que les races humaines et les êtres les plus faibles disparaissent et laissent la place aux races et aux êtres les mieux armés pour survivre.
De nos jours, le darwinisme social inspire encore certaines idéologies d'extrême droite.
Selon Patrick Tort, spécialiste de l'œuvre de Darwin, l'expression darwinisme social est apparu pour la première fois dans un tract intitulé Le Darwinisme social publié en 1880 à Paris par Émile Gautier, un théoricien anarchiste français. De son vivant, Charles Darwin s'est opposé avec vigueur à l'application brutale de la sélection naturelle au sein des sociétés humaines.

Darwin e la teoria dell'evoluzione della specie

DARWINISMO SOCIALE E COLONIALISMO

- Le darwinisme social appliqué aux nations -
À la fin du XIX siècle, le darwinisme social a été étendu aux rapports entre les nations. Si cette idée ne débouche en général pas sur des attitudes belliqueuses, il n'en est pas de même en Allemagne où l'affrontement entre les nations jeunes, comme l'Allemagne, pleines de vitalité virile, et les nations anciennes, qualifiées par les tenants de cette théorie de décadentes, comme la France, est considéré comme inévitable. Cette vision est à replacer dans le contexte social de l'époque. De plus, la vitalité d'une nation se mesure presque exclusivement à l'aune de la démographie : plus une nation est féconde, plus elle est ou sera forte.