Zola: opere
Emile Zola: le opere dello scrittore, giornalista e maestro del Naturalismo francese (2 pagine formato docx)
ZOLA: OPERE
Si Balzac dans sa Comedie Humaine donne un tableau de la société francaise de la 1° moitié du 19° siècle, les Rougon-Macquart de Zola le font per la 2°. Sa vie et son œuvre : né à Paris en 1840, Zola n’arrive pas à obtenir son baccalauréat et commence travailler chez Hachette.
Il débute dans le journalisme et, dès 1868, il œuvre au cycle des Rougon-Macquart, duquel il publie un roman par an dès 1871. La publication de l’Assommoir origine un scandale qui le rend célebre et qui pousse de nombreux écrivains à se réunir autour de lui. Cette cercle fait paraître « Les soirées de Medan », un recueil de nouvelles élaborées selon les préceptes du Naturalisme. Pour écrire des histoires vraies, authentiques et vraisemblables à la réalité ouvrière de 1870, Zola a inquiété à propos du monde du travail, du socialisme, du combat politique et sociale. La publication de la lettre de défense de du colonel Dreyfus lui comporte une condamne à un an de prison, mais il se réfugie en Angleterre. Après son retour en France, il se dédie à des œuvres plus humanitaires.Emile Zola: biografia
EMILE ZOLA, NATURALISMO
Le roman naturaliste: présentant sa doctrine comme une exaspération du Réalisme, Zola définit le Naturalisme comme la formule de la science moderne appliquée à la litterature, car le romancier exploite sa capacité d’observation en étudiant les faits réels comme un homme de science : l’auteur s’engage sur une voie scientifique, son œuvre réunit démarche scientifique et démarche romanesque. L’écrivain naturaliste doit être observateur, pour capter les faits de l’extérieur, et expérimentateur, pour savoir choisir les conditions de l’expérimentation : le roman n’est donc que le moyen de vérifier une hypothèse maturée à partir de l’observation d’un fait social, un instrument qui permet de comprendre la raison des actions humaines. L’œuvre de Zola se caractérise par :
• Opposition du document et de l’étude des cas à l’objéctivité et à l’étude des mœurs ;
• Utilisation de l’argot, la langue du peuple comme forme littéraire. Ce choix contraint Zola a affronter un tas de critiques desquelles il se défend dans le Préface à l’Assommoir ;
• Principe du déterminisme social, une théorie développée par Hyppolite Taine selon laquelle les événements découlent logiquement de ceux qui les ont précédés. L’homme ne jouit pas donc du libre arbitre, car son destin est déterminé par les tares héréditaires. ;
• Analyse de cas pathologiques insérés dans un contexte moralement corrompu.
• Le mouvement naturaliste ne rompt pas avec le Réalisme qui avait caractérisé l’époque précédente : se présentant comme une exaspération du courant réaliste, la doctrine naturaliste reflète les préoccupations et les tremblements de la réalité historique du Second Empire en opposant le souci du document et de l’étude des cas à l’objéctivité et à l’étude des mœurs, à la beauté de la forme et à la primauté du style de Flaubert la langue du peuple, l’argot.
EMILE ZOLA, ROMANZO SPERIMENTALE
L’auteur défend en 1877 la rigueur de son plan, la moralité de ses ambitions, la vérité de son tableau dans son Préface à l’Assommoir, dans lequel il affirme avoir voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière sous le Second Empire dans une œuvre de vérité, le premier roman « qui ait l’odeur du peuple »: l’ivrognerie et la fainéantise, qui ont provoqué le relâchement des liens familiales, l’oubli progressif de bons sentiments et la promiscuité des rapport, se dénouent dans l’honte et la mort. Zola déclare que ses personnages ne sont pas mauvais, il sont tout simplement gâtés du milieu de besogne et misère où ils vivent.
EMILE ZOLA, LIBRI
Zola était convaincu que le milieu, avec la race et le moment, déterminait le destin des hommes, car les comportements humains sont influencés par le décor où les personnages vivent : dans le Préface à l’Assommoir, il déclare avoir voulu analyser la réaction d’une famille ouvrière soumise au milieu du faubourg en fonction des tempéraments et de l’hérédité des personnages . En effet, l’écrivain adhérait à la philosophie du déterminisme sociale élaborée par Hyppolite Taine, qui soutenait que les événements découlent logiquement de ceux qui les ont précédés : le libre arbitre n’existe donc pas, ce sont les tares héréditaires et le milieu à décider l’existence des hommes.